Parle-nous de toi, de ton parcours.
Apres ma scolarité à Maurice j’ai été en France ou j’ai suivi une formation de graphiste. A mon retour j’ai eu un poste de graphic designer dans une agence de branding et j’ai ensuite décidé de me lancer en freelance en 2016 ce qui m’a permis de dédier plus temps a l’Art. C’est toujours ma situation aujourd’hui mais celle-ci a bien évoluer de par les différents projets mais surtout les rencontres.
Depuis quand t’es-tu lancé dans l’art ? Je me suis « lancé » en 2016, l’année du festival de Porlwi by People. Le festival m’a donner ma première opportunité de faire une fresque publique et a enclenché tout ce qui a suivi. Mais avant ça c’est le duo d’illustrateur Éphémère qui a vraiment réveiller mon envie de m’affirmer et d’évoluer en tant qu’artiste grâce a leur événement « Illustrons juillet ». Depuis ces événements l’art fait partie de mon quotidien et je dirais presque de mon identité.
Comment décrire ton style ?
Je fais principalement de l’illustration, d’un style figuratif. Mais j’explore de temps en tant d’autres styles. Mon style a déjà bien évolué depuis le commencement et il évoluera certainement encore.
Qui sont les artistes qui t’inspirent ? En ce moment Tim Molloy. Un artiste Néo-Zélandais qui fait des illustrations colorées à l’aquarelle. Cet Artiste a créé un univers qui me fascine, chaque œuvre est une véritable évasion.
Quels sont tes supports de prédilection ? Après avoir tester différents supports, je prends depuis quelques temps beaucoup de plaisir à travailler avec de l’aquarelle sur papier. J’aime la finesse et les nuances qu’on peut créer avec ces supports. Et l’aquarelle se marie parfaitement avec mes illustrations.
Quel est l’œuvre ou le projet dont tu es le plus fier ? Très bonne question ! Chaque œuvre a une valeur émotionnelle particulière, il m’est toujours difficile de m’en séparer. Je pense que l’œuvre réalisé pour le festival Nu le Morne reste assez particulière car elle représente une transition dans ma façon de travailler. Au Niveau street art il y avait la fresque réalisée pour TAM by foot sur le mur vers la baie de tamarin, un cœur multicolore, bien éveillé qui malheureusement a été repeint… en gris.
Parle de nous de cet oeil qui nous guette dans tes oeuvres 🙂 L’œil ou les yeux présents dans mes dessins sont symbole de conscience, d’éveil, de vie au sens fondamental. Ils établissent le contact entre le public et l’œuvre elle-même. Un peu comme-ci ces œuvres étaient des « êtres » a part entière. Dans cet échange l’œuvre est aussi présente et vivante que vous.
La nature est omniprésente à travers ton travail. Quel est ton lien avec elle ? Oui la nature est omniprésente, car la dernière chose que je voudrais c’est qu’elle ne le soit plus dans nos vies ! Elle est ce qu’il y a de plus émerveillant à bien des niveaux. Et je pense qu’il est juste de dire que nous lui devons tout. Mais aujourd’hui nous avons tendance a penser que nous n’en avons plus besoin, ou seulement d’une certaine partie que nous exploiterons à notre guise. Et souvent sans même être conscient de nos comportements. Je lui rends donc hommage en la mettant en avant, en la réinventant, en espérant au moins que mes œuvres soient un lien vers la vraie nature, que le contact se créer. « Le rôle d’un artiste est de montrer aux gens ce qu’ils ne voient plus ou pas. »
Mon lien avec elle, j’en fais partie comme vous ! Je passe beaucoup de temps dans la nature. C’est là que je pratique la plupart de mes hobbies. Elle me ressource, me permet d’être en contact avec la réalité de l’existence. D’observer la vie qui se passerait sans problème de nous.
Parle-nous du David derrière Dévid… Tes hobbies en dehors de ta pratique artistique ? Une anecdote sur toi que tout le monde aimerait connaître ? Ton livre de chevet ? Mes hobbies comme je disais plus haut se pratiquent dans la nature, et sont aussi souvent des moyens d’évasion. La mer a toujours été un terrain de jeu et d’expérimentation de toute sorte d’activités mais aujourd’hui c’est le surf qui prime. Je suis aussi très rando et vtt pour ce qui est de la terre ferme. Je passe très rarement un week-end assis chez moi.
Mes livres de chevet parce qu’il n’y en a jamais qu’un. Dernièrement je dirais « Freedom from the known » de krishnamurti. “Shantaram” de Gregory David Roberts parce que ce livre mérite définitivement sa réputation !
Les anecdotes ce sont les autres qui doivent les raconter 😉
Si tu n’étais pas un artiste, tu serais…
Je pense que je me serais orienté vers la psychologie ou sociologie… La compréhension de l’humain en général.
Interview Crowdfund.mu (2020)
Parle-nous de toi, de ton parcours.
Apres ma scolarité à Maurice j’ai été en France ou j’ai suivi une formation de graphiste. A mon retour j’ai eu un poste de graphic designer dans une agence de branding et j’ai ensuite décidé de me lancer en freelance en 2016 ce qui m’a permis de dédier plus temps a l’Art. C’est toujours ma situation aujourd’hui mais celle-ci a bien évoluer de par les différents projets mais surtout les rencontres.
Depuis quand t’es-tu lancé dans l’art ?
Je me suis « lancé » en 2016, l’année du festival de Porlwi by People. Le festival m’a donner ma première opportunité de faire une fresque publique et a enclenché tout ce qui a suivi. Mais avant ça c’est le duo d’illustrateur Éphémère qui a vraiment réveiller mon envie de m’affirmer et d’évoluer en tant qu’artiste grâce a leur événement « Illustrons juillet ». Depuis ces événements l’art fait partie de mon quotidien et je dirais presque de mon identité.
Comment décrire ton style ?
Je fais principalement de l’illustration, d’un style figuratif. Mais j’explore de temps en tant d’autres styles. Mon style a déjà bien évolué depuis le commencement et il évoluera certainement encore.
Qui sont les artistes qui t’inspirent ?
En ce moment Tim Molloy. Un artiste Néo-Zélandais qui fait des illustrations colorées à l’aquarelle. Cet Artiste a créé un univers qui me fascine, chaque œuvre est une véritable évasion.
Quels sont tes supports de prédilection ?
Après avoir tester différents supports, je prends depuis quelques temps beaucoup de plaisir à travailler avec de l’aquarelle sur papier. J’aime la finesse et les nuances qu’on peut créer avec ces supports. Et l’aquarelle se marie parfaitement avec mes illustrations.
Quel est l’œuvre ou le projet dont tu es le plus fier ?
Très bonne question ! Chaque œuvre a une valeur émotionnelle particulière, il m’est toujours difficile de m’en séparer. Je pense que l’œuvre réalisé pour le festival Nu le Morne reste assez particulière car elle représente une transition dans ma façon de travailler. Au Niveau street art il y avait la fresque réalisée pour TAM by foot sur le mur vers la baie de tamarin, un cœur multicolore, bien éveillé qui malheureusement a été repeint… en gris.
Parle de nous de cet oeil qui nous guette dans tes oeuvres 🙂
L’œil ou les yeux présents dans mes dessins sont symbole de conscience, d’éveil, de vie au sens fondamental. Ils établissent le contact entre le public et l’œuvre elle-même. Un peu comme-ci ces œuvres étaient des « êtres » a part entière. Dans cet échange l’œuvre est aussi présente et vivante que vous.
La nature est omniprésente à travers ton travail. Quel est ton lien avec elle ?
Oui la nature est omniprésente, car la dernière chose que je voudrais c’est qu’elle ne le soit plus dans nos vies ! Elle est ce qu’il y a de plus émerveillant à bien des niveaux. Et je pense qu’il est juste de dire que nous lui devons tout. Mais aujourd’hui nous avons tendance a penser que nous n’en avons plus besoin, ou seulement d’une certaine partie que nous exploiterons à notre guise. Et souvent sans même être conscient de nos comportements. Je lui rends donc hommage en la mettant en avant, en la réinventant, en espérant au moins que mes œuvres soient un lien vers la vraie nature, que le contact se créer. « Le rôle d’un artiste est de montrer aux gens ce qu’ils ne voient plus ou pas. »
Mon lien avec elle, j’en fais partie comme vous ! Je passe beaucoup de temps dans la nature. C’est là que je pratique la plupart de mes hobbies. Elle me ressource, me permet d’être en contact avec la réalité de l’existence. D’observer la vie qui se passerait sans problème de nous.
Parle-nous du David derrière Dévid… Tes hobbies en dehors de ta pratique artistique ? Une anecdote sur toi que tout le monde aimerait connaître ? Ton livre de chevet ?
Mes hobbies comme je disais plus haut se pratiquent dans la nature, et sont aussi souvent des moyens d’évasion. La mer a toujours été un terrain de jeu et d’expérimentation de toute sorte d’activités mais aujourd’hui c’est le surf qui prime. Je suis aussi très rando et vtt pour ce qui est de la terre ferme. Je passe très rarement un week-end assis chez moi.
Mes livres de chevet parce qu’il n’y en a jamais qu’un. Dernièrement je dirais « Freedom from the known » de krishnamurti. “Shantaram” de Gregory David Roberts parce que ce livre mérite définitivement sa réputation !
Les anecdotes ce sont les autres qui doivent les raconter 😉
Si tu n’étais pas un artiste, tu serais…
Je pense que je me serais orienté vers la psychologie ou sociologie… La compréhension de l’humain en général.